Anecdotes de Tonton Phil

Michel Jonasz, donc, qui pour son premier album en 24bits/96kHz (j'ai oublié le titre) avait envoyé certains morceaux chez BOB LUDWIG (ingénieur de mastering de renommée mondiale) pour qu'il puisse proposer sa vision sur l'album, en faisant un essai de pré-mastering. Lorsque le résultat lui est revenu, il était effaré. C'est à peu près en ces termes (je ne me souviens plus exactement des noms d'oiseaux qu'il y avait dans l'entretien) qu'il raconte : "Qu'est-ce que c'est que ce tâcheron qui me compresse mes morceaux comme un malade alors qu'il ne les a eus en main que quelques heures, et que moi, cela fait six mois que j'y mets tout ce que j'ai !"

YVES JAGET (l'ingénieur du son de l'album) qui était aussi interviewé par le journaliste avait répondu grosso modo ceci : "Michel, s'il n'avait pas fait ça, tes titres sonneraient un peu 'lopette' par rapport aux productions actuelles."